dimanche 31 octobre 2010

The Cove...

Grand bleu rbs
Ce MP3 a été trouvé à Dilandau MP3

J'ai vu récemment le film reportage "The cove-la baie de la honte" et le titre n'est pas trop fort tant le génocide est intolérable! Il ne s'agit pourtant que de cétacés mais pas n'importe lesquels...Si vous avez connu "Flipper" le dauphin, vous serez atteint de la même sensibilité que moi...à se dire que si l'on est capable de massacrer par milliers des êtres aquatiques d'une telle grandeur d'âme alors on n'aura aucun mal à tuer nos semblables homo sapiens! D'ailleurs tous les génocides nous ont montré que ce genre d'individu peut exterminer en toute impartialité...je pourrais dire avec du sang froid puisqu'ils font rougir tout autour d'eux ce qu'ils ne sentent plus dans leurs veines...Quelle déveine! On aurait presque envie de les plaindre et de leur pardonner leurs maladresses à coups de manchettes dans les dents...mais ce serait devenir comme eux...bestiales et incontrôlables! Quoi que...si je pouvais être une petite souris...Quand on a vu un film comme celui-ci, on a besoin de pousser un coup de gueule ou de se défouler sur un sac de frappe avec le portrait robot de son choix...et en plus il y a du choix! Le comble de cette histoire pourrait être que tous ces bouchers de la mer qui revendent cette viande hautement toxique en mercure sous une autre appellation se mettent eux aussi à en consommer et à en crever ainsi que tous les politicars véreux qui étouffent l'affaire...avec une bonne campagne médiatique après ça, la boucle serait bouclée!...et nos amis cétacés pourrait continuer à nous donner de la joie et à nous prévenir des dangers que l'Homme court et encours...Bon!...C'est dégueulasse mais faut quand même le voir...pour le croire!..Et de voir toutes ces personnes s'activer pour cette noble cause...ça c'est positif!

samedi 16 octobre 2010

Sur la route du Kremlin...


Ce week-end, c'était l'occasion d'aller découvrir ou redécouvrir dans leur maturité artistique, des passionnés de peinture, gravure, sculpture, céramique, encre et aussi photo. Ce fut pour moi, un parcours initiatique de sorte que chaque route parcourue méritait le déplacement de part sa qualité artistique, conviviale et même architecturale. Chaque déplacement d'un artiste à un autre nous amène à découvrir des quartiers où il fait bon flâner comme c'est souvent le cas dans la plupart de nos banlieues méconnues à la périphérie de Paris. J'ai donc profité de ce week-end portes ouvertes au Kremlin Bicètre pour découvrir une partie de cette ville et de ces artistes. Nous avons terminé notre road movie, Alexis et moi, chez Elisabeth, une amie qui nous avait proposé le gîte et le couvert en échange de notre convivialité et de nos impressions sur la journée passée...J'en ai profité pour montrer mes photos aux autres invités et pratiquant de la sainte passion qui de part celle-ci, n'avaient évidemment pas pu naviguer chez leur confrères exposants. Je vais donc créer un lien internet pour chacun d'eux afin que d'autres passionnés puissent se connecter sur leur travail et que les acheteurs intéressés puissent les contacter: -la joviale céramiste Inka ANDRÉ et son invitée peintre.
-le sympathique atelier collectif d'ARTKANE avec entre autre: le sculpteur Arthur Joas , le peintre Jerôme Toret et son invité caligraphe J.Jacques Grand et ses chevaux, Nedjma Seghir et bien d'autres...
-les historiques ateliers du C.H.U Bicètre avec le peintre et sculpteur Witold Pyzik et son invité Laurent belloni
-l'agréable centre social avec le peintre décorateur Bruno Jouvet qui inonde le hall d'entrée de sourires, la jolie peintre Priscilla Brunet qui laisse jaillir ses humeurs colorés aux cotés des "jardins de l'ETAI" où l'handicape peut devenir une force d'expression artistique.
-Dans un des ateliers des Barnuffles: Elisabeth Hering peintre photographe en "herbe" invite Pascal Oriac a exposer quelques "Encres" qui ne laissent pas indifférent...Dans un autre atelier: Thor, "tagueur" invité donne au graffiti une dimension artistique urbaine alors que pas très loin, Richard Muller rapproche la nature de notre habitat.
Je termine ce parcours par les artistes chroniqueurs multimédias Maryvonne Pellay et jérôme Lefranc qui ont beaucoup d'expérience à faire partager...si vous avez vu leur atelier/maison, vous comprendrez ce que je veux dire...A quelques pas, Rosalie Nguyen Bich et ses jolies gravures... A quelques foulées, vous passez la porte des caraïbes en découvrant la peinture sur sable de Marie-Céline Rippon et son acceuil tout aussi chaleureux que ses oeuvres.
Toute cette créativité et ce métissage de genres m'ont galvanisé!...Etant plutôt novice en arts plastiques mais avec tout de même une approche photographique, je pense avoir encore ce regard d'enfant qui découvre le monde, les planètes, la galaxie...Sur ses belles pensées, je vais m'éclipser...mon satellite s'impatiente et la terre doit tourner rond...et rond petit pas tapons...foulons, pétrissons cette Terre qui nous est chère afin qu'elle transpire sa créativité en chacun de nous... plutôt que de lui sucer le sang noir de notre médiocrité tels des vampires assoiffés de bons au porteur...Marchons, marchons...avant qu'un sang impur n'abreuve nos sillons...parce que nous croyons en un monde meilleur!..

vendredi 15 octobre 2010

Ça sent l'authenticité...

En ramenant Rachel de l'école cet après-midi, j'ai enfin fait escale chez ce marchand de thé qui me faisait tant envie quand je passais devant tellement la devanture sentait bon l'authenticité...et je ne fus pas déçu!..Comme c'est souvent le cas quand on entre dans ces lieux d'histoires et de sagesse, je fus bien accueilli et très bien conseillé...le tout arrosé de parfums olfactifs pour confirmer mes choix et sublimer mes pensées. Dans chaque boite, bien sur, un beau mélange poétique ornée d'une étiquette relatant son histoire...D'ailleurs, pour la petite histoire de cette modeste mais oh combien grande caverne d'Ali Baba par l'esprit puisqu'il s'agit d'une des plus anciennes voir la dernière encore existante à Paris...ce magasin de thé a pris vie en 1952 mais les murs existaient déjà auparavant au service d'une autre enseigne dont je n'ai pas le souvenir...Certaines boites à thé de cette époque sont toujours en activité mais rassurez-vous, le thé lui a été renouvelé depuis! Alors si un jour vous passez par la rue Sarrette dans le 14ème arr. de Paris un mercredi, il semblerait que l'ancien propriétaire apparaîtrait subitement ce jour là pour conter ou relater aux passionnés et amoureux d'histoires vécus, son passé et vous transporter jusque dans les années 50, le temps d'un instant , d'un lâcher prise...nous nous délectons de cette autre dimension, de ce voyage dans le temps...

jeudi 14 octobre 2010

Les recettes de mémé Rienacirer...

...une bonne dose de champipi...champignons pour la vision nocturne, un soupçon de Tournesol puisque c'est la saison, un poivron en demi-teintes pour colorer le bouillon, une courgette bien farcie parce qu'il faut quand même nourrir son homme... et bien sur du potiron pour la transformation FINaaaaaLE!
Tu laisses mijoter 2 heures avant la dégustation...mais si t'en es à ton premier vol, avale une louche supplémentaire...ça t'aidera à te stabiliser! Quand enfin le ciel semble te parler...élance toi...il te guidera...
Si toutefois tu te réveilles dans ton vomi, c'est que les aiguilleurs du ciel étaient en grève!


mardi 5 octobre 2010

Miam!..Miam!..


Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve...Je rêvais que je me tapais la cloche!
Nous étions parti, mes parents et moi, à la recherche d'un petit resto tranquille mais dont je connaissais la renommée gastronomique...Apparemment je voulais leur faire plaisir puisque c'est moi qui conduisait le cortège. Comme c'est souvent le cas et que j'aime vagabonder, je me perd un peu dans ce dédale de ruelles qui n'en finissent pas...Mais bon! ça va!..ils aiment bien la randonnée!..On finit par tomber sur le resto en question puisque je leur fait savoir que c'est bien celui-ci que je cherchai...En voyant les tables basses et les canapés, ils hésitent à entrer. Est-ce bien un resto? Je leur confirme qu'ils n'ont pas de crainte à avoir et que quand ils seront servi, ils oublieront là où ils sont assis...Effectivement, les plats sont raffinés et pas trop chargés...on déguste à satiété. Tout le monde est ravi...Je me réveille...il n'est que 6 heures mais avec la ferme conviction que je dois préparer mon boeuf bourguignon pour avoir de quoi me régaler ce soir...Et c'est ce que je fais...je me mets à l'ouvrage...carottes, lardons, oignons à profusion...pommes de terre, ail, bouquet garni à discrétion...A 7 heures du matin, il flottait dans l'air une bonne odeur de lard fumé et de vin cuit! A 9 heures, quand je suis reparti pour mon travail, ce fumet mariné avait tendance à me faire envie !? J'en ai déduit que je devais vraiment avoir besoin de me taper la cloche en ce moment et pas que du cru... bourgeois!